Les actus de Ste Emilie du Villefranchois
La collégiale Notre-Dame de Villefranche-de-Rouergue a résonné, ce dimanche matin, d’applaudissements nourris. Jérôme Jayanatham y célébrait sa première messe en qualité de prêtre, entouré d’une assemblée recueillie mais enthousiaste. Beaucoup l’appellent simplement « l’ami Jérôme », signe de l’attachement profond qu’il a su créer auprès des paroissiens.
Entre 2021 et 2023, ce jeune homme de 31 ans avait secondé le père Florent Dixneuf dans son ministère à la tête de la paroisse locale. Son sourire franc, sa simplicité et sa proximité ont marqué les fidèles du bassin villefranchois, qui l’ont vu cheminer de séminariste à prêtre.
Son ordination a eu lieu le 29 juin dernier, par Mgr Meyer, évêque de Rodez et Vabres. D’origine indienne, Jérôme a reçu l’accord de son évêque, Mgr Amalanathan, du diocèse de Kumbakonam, pour exercer son ministère en Aveyron.
Dans un contexte marqué par la raréfaction des vocations sacerdotales – la France ne compte aujourd’hui plus que 7 000 prêtres en activité, contre 25 000 en 1990 – l’arrivée d’un nouveau prêtre est vécue comme une véritable bénédiction.
La communauté chrétienne locale, qui l’a chaleureusement applaudi, lui souhaite désormais un long ministère et un séjour heureux en terre aveyronnaise.
Cliquez ici pour visionner 38 photographies réalisées par Yves Priéto.
La chapelle a été construite à l'occasion des épidémies de peste à Villefranche de Rouergue, d’où le culte à Notre-Dame de Pitié et à St-Roch, vers 1510. De style gothique languedocien, elle fut entièrement décorée de fresques de style byzantin réalisées par Nicolaï Greschny, en 1951/1952, iconographe d'origine russe (1912 – 1985). C’est aussi le sanctuaire lié à la communauté religieuse des Clercs de Saint-Viateur.
Ci-contre, quatre très belles photographies réalisées par Yves Priéto, dans la chapelle de Treize Pierres.
L'association des Amis du cardinal Verdier organise une journée commémorative, samedi 16 août, à l'occasion du 85e anniversaire de sa disparition.
Deux évêques seront présents ce samedi 16 août à Lacroix-Barrez pour rendre hommage à l’œuvre du cardinal Verdier. Il s’agit de Mgr Luc Meyer, évêque de Rodez et Vabres, et Mgr Georges Soubrier, évêque auxiliaire de Paris et évêque émérite de Nantes, ainsi que le père Daniel Boby, vicaire général. À l’occasion du 85e anniversaire du décès du cardinal Verdier, l’association des Amis du cardinal Verdier a décidé de marquer le coup.
Histoire de ne pas faire tomber dans l’oubli, un grand homme. Au-delà de la foi, c’est sa vision éclairante que souhaite rappeler Hélène Charbey, restauratrice d’arts graphiques et membre de l’association présidée par
Françoise Puech. « Il s’intéressait à l’art, il aurait pu être pape, son histoire est extraordinaire. »
C’est cette histoire extraordinaire qui sera retracée ce samedi après-midi à travers une conférence et tables rondes en présence notamment de Michel Emmanuel, historien.
Et pour l’association, l’opportunité de mettre en lumière le musée qui lui est dédié, inauguré en 1967, depuis trop longtemps mis sous l’éteignoir.
« Des objets d’art et souvenirs ont été rassemblés peu de temps après la mort du cardinal. Des neveux et nièces ont beaucoup donné d’objets. Le souhait de créer un musée vient de la volonté des différents curés qui se sont succédé, mais aussi de la volonté des conseillers municipaux qui se sont toujours beaucoup impliqués pour le grand homme de Lacroix-Barrez », racontent les membres de l’association, dont Françoise Puech et Suzel Crouzet ont mis sur pied un parcours avec des panneaux explicatifs pour l’événement.
Le musée, situé dans la crypte sous l’église Saint-Robert, abriterait quelque 550 objets (médailles, photos, textiles, peintures…) et même des sculptures de Denys Puech réalisées par son praticien Maurice Grandet.
L’association profite de l’événement pour lancer un appel à la réalisation d’un inventaire. « On ne sait pas à qui appartiennent des objets, c’est passionnant. » En soi, la commémoration sonne comme le début d’une reconnaissance pour ce cardinal, mort subitement, qui a lancé la construction de 110 églises en France.
Cela vaut bien une messe qui sera célébrée ce samedi à 10 h 30 en l’église de Lacroix-Barrez, suivi d’une présentation du musée à 11 h 30 abritant une exposition temporaire sur sa période Carmes et Saint-Sulpice pour clôturer par la conférence et les tables rondes l’après-midi.
Il sera enfin possible de se procurer un livret écrit par Pascal Beucler, petit-petit neveu du cardinal, pour découvrir cette histoire méconnue.
Le cardinal Jean Verdier, archevêque de Paris, est né le 19 février 1864 à Lacroix-Barrez. Il étudia au séminaire de Rodez et entra en 1886 chez les Sulpiciens. Le 9 avril 1887, il fut ordonné prêtre et enseigna au séminaire de Périgueux qu’il dirigea de 1898 à 1912. De 1912 à 1920, il appartient à la faculté de théologie de Paris et fut supérieur du séminaire des Carmes.
Il fut nommé en 1923 chanoine honoraire de Notre-Dame de Paris et, de 1926 à 1929, dirigea sa congrégation en tant que supérieur général. En 1929, il fut nommé vicaire général du diocèse de Paris et protonotaire apostolique puis, la même année, archevêque de Paris.
Le 16 décembre 1929, le pape Pie XI le créa cardinal prêtre attaché à l’église Santa Balbina. Comme légat, il représenta le pape à de nombreuses occasions en France et à l’étranger. En 1931, il lance l’œuvre des chantiers du cardinal, construisant 110 églises dans Paris et en banlieue parisienne, mais aussi en France. Il mourut le 9 avril 1940 à Paris. Il fut inhumé à la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Samedi 9 août, la chapelle du Couvent des Sœurs Dominicaines de Monteils était en fête.
Sœur Marie-Thérésa KIM, Prieure Provinciale, Sœur Luc-Béatrix de FRANSSU, Prieure du Couvent de Monteils, les Sœurs de la Province France-Lacordaire ainsi que les familles des religieuses, ont eu la joie d’accueillir au sein de leur communauté Sœur Marie-Anastasie NGUYEN THI THUC, qui a prononcé ses vœux perpétuels.
Cette cérémonie exceptionnelle était présidée par Mgr Luc MEYER, évêque du diocèse de Rodez et Vabres, en présence d’une nombreuse assistance. Elle fut également l’occasion de célébrer plusieurs jubilés : les noces de platine (70 ans de profession religieuse) de Sœur Denise-Marie CARRIE, Sœur Marie-Euphrasie MAZIERES et Sœur Marie-Bernadette FABRE, ainsi que les noces de diamant (60 ans de profession) de Sœur Marie Jean-Pierre LA DROITTE.
Après l’eucharistie, concélébrée par l’évêque et plusieurs prêtres, tous se sont retrouvés autour d’un repas convivial et raffiné. L’après-midi s’est poursuivi dans la joie, avec chants et danses inspirés des traditions vietnamiennes.
Greffée sur le grand arbre dominicain dont elle puise l’élan apostolique, la famille religieuse des Dominicaines de Monteils partage, avec les frères et sœurs de l’Ordre — religieux ou laïcs — la vie et la mission d’évangélisation confiée par l’Église.
Depuis plusieurs années, la dématérialisation des paiements s’est accélérée. Si en 2019, les espèces représentaient encore près de 60 % des transactions en points de vente, la crise du Covid a accéléré le déclin puisqu’en 2024, cette part est tombée à environ 43 %, selon la Banque de France. La carte bancaire, le paiement sans contact ont bouleversé les usages. Tous les médias le confirment.
Même les achats de quelques euros, naguère apanage des pièces de monnaie, passent désormais par le numérique, y compris pour une baguette de pain. La carte bancaire représente aujourd’hui plus de 62 % des paiements du quotidien. Le cash n’est clairement plus la norme.
Entre 2018 et 2023, plus de 8 500 distributeurs automatiques de billets (DAB) ont disparu, soit une baisse de 4,6 % rien qu’en 2023.
La quête électronique est la norme dans les grandes églises, dans les cathédrales. Dans la collégiale Notre Dame de Villefranche, les terminaux de quête électronique sont en service depuis 2 ans et demi. Et le nombre de paroissiens sollicitant les paniers connectés va croissant.
Depuis le début août 2025, le diocèse a équipé la collégiale Notre Dame d’un terminal électronique pour le paiement des divers cierges et lumignons. C’est simple, efficace et ça marche bien. Cela étant, le tronc classique reste en service.
Depuis deux siècles, jamais la France n’a eu aussi peu de prêtres et d’ordinations. Bilan et tentative d’explication. En 1789, il y avait environ 120 000 prêtres en France, réguliers et séculiers – 31 000 religieux, pas tous prêtres, et 55 000 religieuses.
Selon les calculs de l’abbé Christian Dumoulin, pendant les onze années de la Révolution, il y eut, en moyenne, 250 ordinations sacerdotales par an – dont 150 dans la seule Église clandestine, et en comptant les très nombreuses défections du côté des prêtres « constitutionnels » (Deux graves crises de recrutement sacerdotal : 1791-1809 et 1948-1990, Esprit et vie, 14 et 21 mars 1991).
Après la stabilisation du Concordat de 1801, la France se trouva dotée de 30 000 à 35 000 prêtres en état de service, dont 68 % avaient plus de 60 ans. « L’urgence était donc au recrutement sacerdotal. L’épiscopat eut le bon sens de le reconnaître et mit tout en œuvre pour résoudre cette question. En 1809, on comptait déjà 5 800 élèves dans les écoles presbytérales, 4 600 dans une centaine de petits séminaires et 4 000 dans les grands séminaires, avec 3 300 théologiens et philosophes répartis sur les deux-trois ans que durait le séminaire, donc pour la plupart bientôt promus au sacerdoce. Résultat remarquable quand on songe à la tornade qui avait disloqué le corps sacerdotal. »
Le nombre des ordinations dépassait déjà 1 000 par an en 1808, pour s’établir bientôt autour des 1 500. En 1875, le nombre des prêtres était revenu à 56 500 en France – sans compter évidemment l’Alsace-Moselle.
Malgré la séparation de l’Église et de l’État en 1905, qui avait amené une baisse momentanée – vu la précarité de l’état clérical qu’elle avait engendrée – et après la chute liée à la Première Guerre mondiale, le recrutement remonta en 1948 à environ 1 400 ordinations par an, avant de connaître la pire crise que l’Église en France ait jamais connue. Quelques repères : 900 ordinations par an entre 1951 et 1955 ; 580 entre 1961 et 1965 ; 200 entre 1971 et 1975 ; environ 100 entre 1981 et 1985. Ce chiffre excessivement bas – au-dessous même de celui des ordinations de l’Église clandestine pendant la période révolutionnaire – se maintient depuis plus d’un demi-siècle, sans remontée vraiment significative.
Aussi le nombre de prêtres en exercice s’effondre-t-il rapidement. En 1990, la France comptait encore environ 25 000 prêtres catholiques en exercice. En 2025, il n’y a plus que 7 000 prêtres catholiques en activité en France. Cependant, parmi eux, seulement 5 000 sont des prêtres français de moins de 75 ans, considérés comme « actifs ». Environ 2 000 prêtres supplémentaires viennent de l’étranger pour une mission pastorale en France.
Concernant l’âge, on peut estimer qu’il y a entre 2 000 et 2 500 prêtres de moins de 60 ans – chiffre en diminution constante – dont une bonne partie sont étrangers. Ceux qui ont entre 60 et 74 ans représentent environ 2 500 prêtres ; ceux de 75 ans et plus, environ 2 000 prêtres.
Comment expliquer la crise de recrutement sacerdotal ? L’explication sociologique parle de crise de civilisation, d’un Occident matérialiste et jouisseur et d’une crise de la famille, toujours facteur majeur des vocations. Une telle justification semble insuffisante. Seule une explication théologique peut rendre compte d’un effondrement aussi massif et durable : diffusion de courants hétérodoxes qui ont causé une crise d’identité du prêtre, mise en cause du prêtre comme l’homme du sacré, de la prière et surtout des sacrements, en particulier de l’Eucharistie, accent mis sur la notion de projet de vie dans la fidélité à soi-même, et non plus sur la fidélité à l’appel objectif de Dieu. Tout ceci cadre avec une religion devenue trop sociale et trop axée sur le développement personnel, pas assez transcendante.
Le recrutement sacerdotal est le thermomètre de la foi et de la vitalité religieuse, plus significatif encore que celui de la pratique religieuse. Notre pays n’avait jamais connu ces 75 ans de crise de recrutement, qui mettent aujourd’hui l’Église de France en péril, comme le pape Léon XIV semble le souligner dans sa toute récente lettre aux évêques de France.
Prions donc « le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson », car c’est des prêtres que dépend « le renouveau espéré de l’Église entière » (Vatican II).
Le prochain concert des Amis des Carillons aura lieu mardi 19 août de 18h à 19h30. Les Amis des Carillons reçoivent mardi 19 août de 18h-19h30 le maître-carillonneur concertiste Wim Berteloot, déjà venu en 2023.
Il est le carillonneur titulaire des carillons de Bruges, Diksmuide, Menen et Roeselare. Il est aussi professeur à la célèbre école royale de carillon de Malines.
Son programme comportera une première partie d'airs classiques, du baroque à aujourd'hui et une seconde partie d'airs de variétés très connus.
BRANDONNET
Mme Simone LAUMON, son épouse ; Pierre et Patricia, Jean-Luc et Marie-Hélène, Monique et Sébastien, Sylvie et Pascal, ses enfants ; Gwenaëlle, Thomas, Dorian, Justine, Laure, Martin, Rémy, Emma et Arthur, ses petits-enfants ; ses 8 arrière-petits-enfants ; Mado et Michel BARRIAC, sa belle-sœur et son beau-frère ; Mme Michèle CAMMAS, sa cousine, parents et amis ont la tristesse de vous faire part du décès de
M. Maurice LAUMON, Ancien Combattant d'Algérie, survenu à l'âge de 91 ans.
Les obsèques religieuses seront célébrées le lundi 18 août 2025, à 15h00, en l'église de Brandonnet.
Un dernier hommage peut lui être rendu à la chambre funéraire Bros, 20 route de la Ramondie, à Lanuéjouls. Tél 05 65 81 94 24 Dépôt de condoléances sur https://www.pf-bros.fr/
Ols-et-Rinhodes
C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Monsieur Yves SOLERY, décédé à Villefranche de Rouergue le 13 août 2025, à l'âge de 89 ans.
Les obsèques religieuses seront célébrées mardi 19 août 2025 à 10h00 en l’église d'Ols-et-Rinhodes, suivies de l’inhumation au cimetière d'Ols-et-Rinhodes.
Un dernier hommage peut lui être rendu à la Maison funéraire Vialelles, 53, Rue des Marbriers, Villefranche de Rouergue. Tél 05 65 45 75 53. Dépôt de condoléances sur vialellesfuneraires.fr
RIEUPEYROUX.
Les familles REGOURD, VAULTIER, BOUFFIL, ROUGET, NOËL ; son frère, ses sœurs, beaux-frères et belle-sœur, ses neveux et nièces, parents et amis ont la douleur de vous faire part du décès de
Mme Yvonne REGOURD survenu à l'âge de 102 ans.
Les obsèques religieuses seront célébrées le mardi 19 août 2025, à 15h00, en l'église de Rieupeyroux.
Dépôt de condoléances sur www.pf-spinelli.fr La famille remercie par avance toutes les personnes qui s'associeront à sa peine et les prie de trouver ici l'expression de sa profonde gratitude.
ACF SPINELLI Henri et Thomas - Decazeville, Firmi, Capdenac, Rodez Tél. 05.65.80.20.40
Dimanche 21 septembre, les paroissiens, les amis, les fidèles vivront une fête d'exception. Ils célèbreront la fête de leur paroisse et les 75 ans de la canonisation de Sainte Emilie de Rodat.
Notez qu'une superbe exposition vous est présentée depuis le 12 juin jusqu'au 25 septembre 2025., tous les jours de 10h00 à 16h00. C'est gratuit et c'est rue du Sergent Bories.
Vous voulez participer ? Renseignez le formulaire ci-contre.
Vous pouvez aussi vous inscrire à la fin de la messe le samedi à la Sainte Famille ou le dimanche à la Collégiale, à partir du 30 août.
Des myriades de petits mots disent la joie de croire. Cette semaine, explorons le terme « alléluia » pour en retrouver toute la saveur. Dans la Bible, ainsi que dans la liturgie chrétienne, le terme d’origine hébraïque « alléluia » a été conservé tel quel.
Ce choix de ne pas le traduire exprime déjà son importance. D’où la nécessité d’en connaître l’origine et le sens, pour le prononcer, non par habitude, mais en toute conscience.
Au cours de la nuit pascale, un mot que l’on a tu pendant le carême, en signe de pénitence, résonne de nouveau avec éclat : alléluia ! D’origine hébraïque, cette exclamation signifie littéralement « louez le Seigneur » (hallelou-Yah, du verbe hâlal, « louer », et Yah, la formule abrégée du Tétragramme).
On la retrouve dans les psaumes chantés lors des liturgies des grandes fêtes juives, en particulier la Pâque. Chacun des psaumes qui constituent ce que les juifs appellent le « grand Hallel » (psaumes 112 à 117) et le « petit Hallel » (psaumes 145 à 150) commence et s’achève ainsi par un « alléluia ». « Alléluia ! Louez, serviteurs du Seigneur, louez le nom du Seigneur ! » (psaume 112).
C’est au IVe siècle que le chant de l’alléluia a été introduit dans la messe, avant la proclamation de l’Évangile, comme cela se pratiquait déjà dans les liturgies orientales.
D’abord réservé au jour de Pâques et à son octave, il a ensuite été étendu jusqu’à la Pentecôte puis aux dimanches et fêtes de l’année. Il reste malgré tout le cri par excellence du temps pascal, le « chant nouveau de l’homme nouveau », selon l’expression de saint Augustin.
« Il retentit à partir d’un événement absolument nouveau : la mort et la résurrection du Christ. L’alléluia est né dans les cœurs des premiers disciples de Jésus, hommes et femmes, en ce matin de Pâques, à Jérusalem. (…) Cette expérience a inscrit une fois pour toutes l’alléluia dans le cœur de l’Église ! Et dans notre cœur », déclarait Benoît XVI.
« Le temps qui précède Pâques, temps de pénitence, est le symbole de la vie terrestre, vie pénible, comme le temps qui suit Pâques, temps de joie, est le symbole de la vie du ciel (…). Cette vie future a pour refrain l’alléluia », affirmait saint Augustin.
L’alléluia liturgique est ainsi comme un avant-goût de l’alléluia final, celui que chantent les élus qui sont entrés dans la joie du Royaume, là où il n’y aura plus ni larmes, ni souffrance, ni mort, ni deuil.
Saint Jean en a eu la vision à Patmos : « J’entendis comme la voix forte d’une foule immense dans le ciel, qui proclamait : “Alléluia ! Le salut, la gloire, la puissance à notre Dieu » (Apocalypse 19, 1). Chanter ici-bas l’alléluia, c’est poser un acte de confiance et d’espérance en Dieu dont l’amour est plus fort que la mort.
Le clocher de la collégiale Notre-Dame est ouvert :
les lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00.
Le jeudi de 10h00 à 12h30 et de 15h00 à 18h00.
Tarif : 3€ adultes et 1€ enfants
Tous les jeudis, animation autour du carillon de 9h15 à 10h15 et de 18h00 à 19h00.
Villefranche, jeudi 14 août 2025
Bonjour à toutes et à tous,
Monteils : profession de foi et jubilés. Samedi 9 août, la chapelle du Couvent des Sœurs Dominicaines de Monteils était en fête. Cérémonie présidée par Mgr Luc Meyer à l’occasion de la profession de foi de Sœur Marie-Anastasie Nguyen Thi Thuc et de plusieurs jubilés. Vidéo et article ci-dessus.
Le paiement sans contact se généralise. Début août 2025, le diocèse a équipé la collégiale Notre Dame d’un terminal électronique pour le paiement des divers cierges et lumignons. A découvrir ci-dessus.
En ce jour de l’Assomption, la lecture porte sur Marie et Élisabeth. Malgré leurs propres interrogations, les deux futures mères incarnent l’annonce de la venue du Sauveur. A méditer, ci-dessus.
Revue de la presse chrétienne : Nomination d’un prêtre condamné pour viol : la CEF désavoue l'archevêque de Toulouse ; Angélus: «Où que nous soyons, essayons de ne perdre aucune occasion d'aimer»
Le carillon de Notre-Dame en concert, mardi 19 août de 18h à 19h30, avec le maître-carillonneur concertiste Wim Berteloot, déjà venu en 2023. A lire en page actus.
Sur l’agenda :
Du vendredi 22 août 2025 au lundi 25 août 2025 * Pèlerinage diocésain à Lourdes.
Dimanche 21 septembre Fête de la paroisse et 75 ans de la canonisation de Saint Emilie de Rodat. Vous voulez participer ? Formulaire d’inscription en page actus de notre site ou à la fin de la messe le samedi à la Sainte Famille ou le dimanche à la Collégiale, à partir du 30 août.
Jusqu'au 25 septembre, tous les jeudis de 10h00 à 16h00, exposition dans la chapelle de la Ste Famille. Thème Ste Emilie de Rodat.
A noter : Le clocher de la collégiale Notre-Dame est ouvert lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00 et jeudi de 10h00 à 12h30 et de 15h00 à 18h00.
Que Dieu nous garde.
L’équipe éditoriale de la paroisse Ste-Emilie
Jusqu'au 25 septembre 2025. tous les jeudis de 10h00 à 16h00, exposition dans la chapelle de la Ste Famille. Thème Ste Emilie de Rodat.
22, 23 et 24 août, FESTIRURAL au LIORAN, au pied de la station de ski et du plomb du Cantal, dans le CANTAL. Consulter l'affiche ci-dessus.
Du vendredi 22 août 2025 au lundi 25 août 2025 * Pèlerinage diocésain à Lourdes. Consulter l'affiche ci-dessus.
Dimanche 21 septembre 2025. Fête de la paroisse Ste Emilie du Villefranchois et 75 ans de la canonisation de Ste Emilie de Rodat. Consulter l'affiche ci-dessus.
Dimanche 21 septembre 2025. Fête de la paroisse Ste Emilie du Villefranchois et 75 ans de la canonisation de Ste Emilie de Rodat. Consulter l'affiche ci-dessus.